Les périples de l’enfant de Ksiba est un récit intimiste gravé dans la mémoire de l’auteur, Abdelaziz Ben Jebria et qui débute par dévoiler le background de son village natal, Ksiba, et à travers lui les évènements tragiques mais aussi heureux qui ont eu lieu, avant sa naissance, touchant les principaux personnages qui ont façonné par la suite son existence et contribuer à son destin fortuné.
L’auteur y relate les meilleurs souvenirs de son enfance, à Ksiba, et de son adolescence, à Sousse et Bizerte, tout en se laissant vadrouiller dans le bonheur de ses premières 20 années Tunisiennes, avant de continuer la narration de ses imprévisibles périples qui se poursuivaient et se prolongeaient lointainement à travers ses deuxièmes et troisièmes 20 années Françaises et Américaines.
Abdellaziz Ben-Jebria, Chercheur scientifique international, a eu la chance de voir sa première année scolaire coïncider avec l’indépendance de sa Tunisie natale où il a fait ses études primaires et secondaires.
Puis, tout en étant étudiant-travailleur, en France, il a obtenu une Maitrise de Mathématiques à l’Université Paris-7, un Doctorat de 3 ème cycle et un Doctorat ès-science d’Etat en Biophysique à l’Université P.M. Curie.
En 1980, il devient Chercheur Scientifique à l’INSERM ; il s’expatrie ensuite aux Etats-Unis en tant que Professeur-Chercheur à Penn State University.
Auteur de nombreuses publications scientifiques internationales et de brevets américains, ses recherches théoriques et expérimentales s’étaient toutes focalisées sur l’aspect bio-engineering des poumons. Depuis sa retraite, il a pris le temps d’écrire sa première tentative littéraire.
Dans son livre, l’auteur a pris le temps d’écrire minutieusement ses mémoires sur 522 dans un style volontairement pléonastique, et agréablement poétique. Abdelaziz Ben Jebria s’adresse aussi bien aux Amoureux de la Tunisie, des années 40, 50 et 60, qu’aux Amoureux de Paris et son 5ème arrondissement, des années 70 et 80.
Un récit qui s’adresse également aux Amoureux de la Haute-Savoie et ses belles montagnes et cascades, des années 70, aux Amoureux de Bordeaux et ses vignobles, des années 90, aux Curieux de la belle Pennsylvanie et sa Penn State University, des années 90 et 2000 et aux Amoureux des vieilles chansons françaises paillardes, et de l’ancienne poésie arabe philosophique et libertine.
Ce livre consacre une belle rencontre entre la science et la littérature.
4 Commentaires
A ma connaissance il n’y a pas de village nommé Ksiba en Tunisie par contre c’est un quartier historique de Bizerte.
Ksiba est bien le village natal de l’auteur. Il se trouve à 5 km au sud de Sousse.
L’auteur précise dans son livre qu’il s’agit de Ksibet-Sousse, mais il préfère l’appeler Ksiba comme le disent tous les gens du bled.
A Adel: il ne fait pas partie du gouvernerat de Bizerte, mais du gouvernerat de Sousse. D’ailleurs, la municipalité combine les deux villages: Thrayat et Ksibet-Soussie (Ksiba).
Adel: Il s’agit bien de Ksiba (ou Ksibet-Sousse), le village natal de l’auteur, qui se situe géographiquement prés de 5 km au sud de la ville de Sousse. Il ne fait pas partie du gouvernerat de Bizerte.
L’auteur l’explique d’ailleurs bien, au début de son livre, qu’il préfère l’appeler Ksiba, comme d’ailleurs les gens (au lieu de Ksibet-Sousse).
Il faudrait absolument publier ma réponse que j’ait faite depuis hier, pour corriger la fausse information personnelle de ce monsieur qui ne sait pas de quoi il raconte. Il parle de Bizerte alors que l’auteur est l’enfant natif de son village, Ksiba, dans la région du Sahel-Sousse.
Merci.