Le Royaume du Maroc apprécie hautement les positions positives et les engagements constructifs de l’Espagne au sujet de la question du Sahara marocain, contenus dans le message adressé à Sa Majesté le Roi Mohammed VI, par le Président du Gouvernement d’Espagne, S.E.M. Pedro Sánchez.
Les termes de ce message permettent d’envisager une feuille de route claire et ambitieuse afin d’inscrire, durablement, le partenariat bilatéral dans le cadre des bases et des paramètres nouveaux, soulignés dans le Discours Royal du 20 août dernier, indique un communique du ministère des Affaires étrangères.
« Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, avait appelé, dans ce Discours, à « inaugurer une étape inédite dans les relations entre Nos deux pays, fondée sur la confiance, la transparence, la considération mutuelle et le respect des engagements » », ajoute la même source.
C’est dans cet esprit que s’inscrit la visite à Rabat, à la fin de ce mois de mars et avant le mois de Ramadan, du ministre espagnol des Affaires Etrangères, de l’Union Européenne et de la Coopération, M. José Manuel Albares. Une visite au Royaume du Maroc, du Président du Gouvernement espagnol sera, également, programmée ultérieurement, conclut le communiqué.
2 Commentaires
Un petit pas important ; mais il reste deux autres pas très important.
LE PETIT PAS IMPORTANT :
Le Conseil de sécurité et l’Assemblée Générale de l’Organisation des Nations Unies (ONU) ont reconnu depuis 2007, 15 ans déjà, le caractère sérieux et crédible de la proposition marocaine relative à l’autonomie des deux provinces du Sahara marocain.
L’Espagne qui fait partie des Nations Unies n’a jamais contesté officiellement ou officieusement la position de l’ONU à ce sujet. De ce fait, la réaction très tardive de l’Espagne n’est que ce qu’on qualifie en arabe de chose évidente (تحصيل حاصل).
Depuis 1975, les gouvernements espagnols successifs ont toujours agi sournoisement contre notre pays en apportant des soutiens politiques et des aides en espèces et en nature aux deux ennemis de notre intégrité territoriale.
Ces aides en espèces et en nature n’ont jamais été versées aux organisations internationales reconnues (Croix et croissant rouges, UNICEF, etc.) pour être utilisées à bon escient au profit des détenus dans les camps de concentration de Tindouf.
Les dons en espèces ont toujours été remis directement aux profiteurs de guerre du POLISARIO qui les utilisaient, dans un premier temps, pour acheter des armes afin d’agresser notre pays et, dans un deuxième temps, pour ‘’construire des châteaux en Espagne’’. C’est bien le cas de le dire lorsqu’ils ont perdu tout espoir en se rendant compte que tous leurs efforts étaient continuellement brisés et anéantis par notre vaillante Armée Royale et aussi par la résilience inaltérable et inébranlable du Peuple Marocain pendant un demi-siècle.
Les aides en nature n’étaient pas en reste. Elles étaient vendues au grand jour sous les yeux des donateurs dans les pays du Sahara/Sahel et leurs revenus connaissaient et connaissent toujours le même sort que les aides en espèces. Les lascars (au sens originel arabe et au sens européanisé) du pays qui se définit lui-même comme étant ‘’l’ennemi classique et de toujours’’ du peuple marocain ne se privaient pas d’imposer officiellement ces ‘’dons humanitaires’’ de 5% et de subtiliser le meilleur depuis le port d’Oran jusqu’aux camps de concentration de Rabouni.
LES TROIS GRANDS PAS RESTANTS :
J’étais franchement sidéré par les élans plus qu’optimistes pris par les présentateurs de nos deux chaînes TV et par leurs invités analystes qui laissaient croire que la partie est gagnée alors que l’Espagne n’a fait que répéter la position du Conseil de Sécurité et de l’Assemblée Générale de l’ONU dans les 18 Résolutions du CS et surtout la toute dernière N°22-06 qui a donné, entre les ligne, un délai d’un an au pays situé ‘’hock’’ pour rejoindre la position internationale sur la Sahara Marocain.
QU’EST-CE QUI RESTE ?
1) L’Espagne qui a participé à la partition de notre pays à la conférence de Berlin de 1884 avec les autres puissances colonialistes et qui a eu le feu vert de ces derniers pour occuper illégalement une partie bien choisie de notre pays pour en faciliter le démantèlement nous doit la remise des cartes géographiques du Maroc utilisées à cette fin.
L’Espagne qui connait, plus que quiconque, la réalité historique de nos frontières doit emboîter le pas aux Etats-Unis qui ont reconnu sans ambages la marocanité de nos provinces sahariennes.
2) L’Espagne doit reconnaître les frontières de nos eaux territoriales définies par notre pays sur la base du droit maritime international et dont les cartes et documents appropriés ont été déposés officiellement auprès de l’Organisation des Nations Unies.
3) L’Espagne, si elle veut vraiment préserver ses intérêts avec notre pays, doit s’assoir, le plus tôt possible, à la table des négociations pour discuter avec notre Gouvernement de la libération des villes de Sebta et de Melilia ainsi que des îles, îlots et rochers marocains occupés illégalement par l’Espagne depuis le temps des croisades en application des commandements haineux de la Très Catholique Isabelle de Castille, lesquels commandements sont suivis à la lettre par notre lointain cousin morisco Abascal (*) Santiago ‘’de Compostela’’ (**) (أبا عَسْقَلْ الموريسكي الأندلسي).
(*) : Aba Âsqal Al Moriski al Andalussi est le descendant de nos ancêtres les Moros qui ont façonné l’Espagne actuelle et qui en ont déterminé les frontières.
(**) : La mémoire d’Abascal ou Aba Âsqal a été presque entièrement effacée et profondément altérée qu’il s’identifie au sinistre Santiago Matamoros de Compostela (Matamoros = Tueur des moros !).
En conclusion, nos voisins du nord pourraient prétendre à une certaine normalisation des relations avec notre pays en contrepartie de leur PETIT PAS mais ne pourront jamais prétendre à un chèque en blanc en l’absence des TROIS GRANDS PAS RESTANTS.
Traduction destinée à qui de droit et surtout aux 24 apôtres de la haine au parlement espagnol avec à leur tête notre cousin éloigné Abascal Al-moriski Al-andalussi (أبا عَسْقَلْ الموريسكي الأندلسي).
Traducción destinada a quien corresponda y en especial a los 24 apóstoles del odio en el parlamento español encabezados por nuestro primo lejano Abascal Al-moriski Al-andalussi (أبا عَسْقَلْ الموريسكي الأندلسي).
(Merci beaucoup à Google Translator qui m’a aidé à traduire le texte original en langue française / Muchas gracias a Google Traductor que me ayudó a traducir el texto original al francés.)
Un pequeño paso importante; pero faltan otros tres pasos muy importantes.
EL PEQUEÑO PASO IMPORTANTE:
El Consejo de Seguridad y la Asamblea General de las Naciones Unidas (ONU) han reconocido desde 2007, 15 años ya, el carácter serio y creíble de la propuesta marroquí relativa a la autonomía de las dos provincias del Sáhara marroquí.
España, que forma parte de las Naciones Unidas, nunca ha cuestionado, ni oficialmente ni extraoficialmente, la posición de la ONU sobre este tema. Como resultado, la muy tardía reacción de España es solo lo que en árabe se llama una cosa obvia (تحصيل حاصل).
Desde 1975, los sucesivos gobiernos españoles siempre han actuado de manera solapada contra nuestro país brindando apoyo político y ayuda en dinero y en especie a los dos enemigos de nuestra integridad territorial.
Esta ayuda en efectivo y en especie nunca ha sido pagada a organizaciones internacionales reconocidas (Cruz Roja y Media Luna Roja, UNICEF, etc.) para ser utilizada sabiamente en beneficio de los detenidos en los campos de concentración de Tinduf.
Las donaciones en efectivo siempre se han dado directamente a los especuladores de la guerra del POLISARIO que las utilizaron, primero, para comprar armas para atacar a nuestro país y, segundo, para ‘construir castillos en España’. De hecho, es el caso de decirlo cuando perdieron toda esperanza al darse cuenta de que todos sus esfuerzos fueron continuamente destrozados y aniquilados por nuestro valiente Ejército Real y también por la resistencia inquebrantable del Pueblo Marroquí durante medio siglo.
La ayuda en especie no se quedó fuera. Fueron vendidos a plena luz del día bajo la mirada de los donantes en los países del Sahara/Sahel y sus ingresos sufrieron y aún sufren el mismo destino que la ayuda monetaria. Los lascars (en el sentido árabe originario y en el sentido europeizado) del país que se define como « el clásico y eterno enemigo » del pueblo marroquí no dudaron en imponer oficialmente estas « donaciones humanitarias » del 5% y robar lo mejor desde el puerto de Orán hasta los campos de concentración ‘’nazional-socialista’’ de Rabouni.
LOS TRES PASOS PRINCIPALES QUE RESTAN:
Francamente me quedé estupefacto ante los más que optimistas exabruptos de los presentadores de nuestras dos cadenas de televisión y de sus analistas invitados que hacían creer que la partida estaba ganada cuando España solo repetía la posición del Consejo de Seguridad y de la Asamblea General de la ONU consagrada en las 18 Resoluciones del CS y particularmente la última Resolucion N°22-06 que daba, entre líneas, un plazo de un año al país situado »Hock » (Por alla) para incorporarse a la posición internacional sobre el Sáhara marroquí.
¿QUÉ QUEDA?
1) España, que participó en la partición de nuestro país en la conferencia de Berlín de 1884 con las demás potencias colonialistas y que tuvo luz verde de éstas para ocupar ilegalmente una parte bien escogida de nuestro país para facilitar su desmantelamiento nos debe la entrega de los mapas geográficos de Marruecos utilizados a tal efecto.
España, que conoce mejor que nadie la realidad histórica de nuestras fronteras, debe seguir los pasos de Estados Unidos, que han reconocido inequívocamente el carácter marroquí de nuestras provincias saharianas.
2) España debe reconocer los límites de nuestras aguas territoriales definidas por nuestro país sobre la base del derecho marítimo internacional y cuyos correspondientes mapas y documentos han sido depositados oficialmente en las Naciones Unidas.
3) España, si realmente quiere preservar sus intereses con nuestro país, debe sentarse, cuanto antes, a la mesa de negociación para discutir con nuestro Gobierno la liberación de las villas de Sebta y Melilia así como de las islas marroquíes, islotes y peñascos ocupados ilegalmente por España desde la época de las cruzadas en aplicación de los odiosos mandamientos de la Muy Católica Isabel de Castilla, mandamientos que sigue al pie de la letra nuestro primo lejano morisco Abascal (*) Santiago »de Compostela » (**) (أبا عَسْقَلْ الموريسكي الأندلسي).
(*): Aba Âsqal Al Moriski al Andalussi es descendiente de nuestros antepasados los Moros que conformaron la España actual y determinaron sus fronteras.
(**): Se ha borrado casi por completo y alterado profundamente la memoria de Abascal o Aba Âsqal que se identifica con el siniestro Santiago Matamoros de Compostela (Matamoros = ¡Asesino de moros!).
En conclusión, nuestros vecinos del norte podrían reclamar una cierta normalización de las relaciones con nuestro país a cambio de su PEQUEÑO PASO pero nunca podrán reclamar un cheque en blanco en ausencia de los TRES GRANDES PASOS RESTANTES.