L’année 2019 a été riche en faits marquants pour la Lydec. Nous pouvons citer à cet effet, la mise en place du Système de Management de l’Energie au niveau de l’activité Eclairage public conformément à la norme ISO 50001/2018, la lutte contre les inondations, le lancement du projet de dématérialisation des processus de demande de branchement, double distinction RSE de Lydec par son maintien dans les palmarès de Vigeo Eiris…
Côté indicateurs, le chiffre d’affaires au 3ème trimestre 2019 s’élève à 1.814 MDH en baisse de 2% par rapport à la même période de l’année passée. Sur les neuf premiers mois de l’année en cours, le chiffre d’affaires a progressé de 1,8% à 5.407 MDH par rapport à la même période d’une année auparavant. Cette croissance est tirée par des recettes de travaux de maîtrise d’œuvre de 13,6% ainsi qu’une légère croissance des ventes de fluides de 0,3%.
Par type de branche, le chiffre d’affaires de l’eau potable relatif au 3ème trimestre 2019 a atteint 366 MDH en hausse de 0,6% par rapport à T3 2018.
En matière d’électricité, le chiffre d’affaires à la même période est quasiment stable par rapport à la même période en 2018 soit 1.180 MDH.
A noter par ailleurs que 2019 est pour la Lydec une année de parachèvement de quelques projets d’investissements. Depuis le début de l’année, les investissements de la Gestion déléguée enregistrent une hausse de 41,3% par rapport à la même période en 2018 pour s’établir à 618 MDH. Au troisième trimestre 2019, ils s’élèvent à 233 MDH en hausse de 44,5% par rapport à T3 en 2018. Il est à noter que les réalisations au cours du premier semestre 2018 avaient connu des retards dans la réalisation de certains grands projets d’investissement (appels d’offres infructueux, retard d’obtention des autorisations…).
L’endettement s’élève à 1.360 MDH en hausse de 9,8% par rapport à T3 2018. D’après le management de la Lydec, cette hausse résulte d’une part d’un taux d’avancement des investissements meilleur qu’à fin septembre 2018, et d’autre part de l’augmentation de certaines créances travaux en lien avec les grands projets d’aménagement urbains. Ces créances sont actuellement en cours de réduction.